Ethique : Le principe d’une unité de nature des corps et théorie des notions communes

Dans la deuxième partie de l’Ethique, le système joue son va-tout : c’est là qu’il va perdre ou gagner son pari absolu d’intelligibilité du réel et surtout la signification éthique d’une telle intelligibilité, c’est-à-dire la possibilité pour l’homme de trouver dans la connaissance (et par seulement par la connaissance) quelque …

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Ethique : Notions communes

Comment comprendre ce que Spinoza appelle « notions communes » (Ethique, II, 37-30) ? C’est un certain type de rapport sous lequel des corps peuvent s’accorder et des corps peuvent s’accorder en tant qu’ils ont des propriétés communes. Les propriétés communes sont celles de l’Etendue, et dans un premier cas …

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Ethique : Le corps et le parallélisme

Le corps comme fil conducteur dans l’Ethique peut servir à montrer la signification du parallélisme tant du point de vue critique (contre les thèses que le parallélisme va remplacer) que d’un point de vue positif, constructif de l’Ethique. Reprenons les conditions d’un concept adéquat de l’esprit : c’est une activité …

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Ethique : Le parallélisme

Pour former un concept vrai de l’esprit (comme le veut la 2° partie de l’Ethique), il faut renoncer à l’union de l’âme et du corps en tant que sentiment vécu du monde. Le parallélisme permet de fonder la connaissance vraie de l’esprit. Proposition 7, 2° partie : « L’ordre et …

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Ethique : La nature de l’esprit

L’homme n’est pas substance. Son âme et son corps sont des modes. L’âme de l’humain a cette particularité de n’être pas seulement une idée de son corps, elle est aussi idée de l’idée : ce n’est d’ailleurs qu’en tant que tel que la possibilité de se reconnaître comme participant à …

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